Hôtel Römerbad.

La répétition démarre, deux compositeurs nous accompagnent sur cette tournée:
Hans Peter Kyburz et Bruno Mantovani.

Travail studieux sous la baguette ( en fait, il n'en utilise jamais ) de Pierre Boulez et les oreilles attentives des compositeurs et de Klaus Lauer.

Hans Peter et Didier Pateau dans le salon de l'hôtel.

Klaus.

Bien plus intime qu'à la Scala !!!

Jeanne-Marie vient prendre le La du piano.

Cor de salon.

Bruno suit de très près la répétition.

Ps: dans la rubrique " Albums Photos" à gauche, j'ai ajouté ce soir quelques images inédites de Bruno Mantovani,
prisent pendant les répétitions parisiennes de cette tournée.

Comments

[james]

pour les plus récents aussi parfois.
La taille du lieu n'a finalement que peu d'importance. C'est tout autre chose qui révèle le caractère et les vibrations d'une salle.
Dans cette petite ville de la forêt noire, l'élégance de cet hôtel allait bien au dela du plaisir visuel. Un petit quelque chose indéfinissable.
Bonne nuit Marie-José.

[Marie-José]

Bonsoir James,
Nous sommes loin de l'ambiance de l'Italie, mais cette ambiance feutrée ne semble pas déplaisante pour autant... Le caractère attentif et concentré... Je préfère de loin l'intimité des petites salles. La magie des grandes salles s'inscrit plutôt dans la beauté des lieux... pour les anciens, bien entendu.
Bonne continuation.

[james]

Oh Bruno, je garderai longtemps en mémoire cette tournée. La qualité de la musique y est pour beaucoup,le prestige des lieux également mais la chaleur des participants y est sans doute pour beaucoup plus encore.
Nos chemins se croiseront à nouveau, bientôt et, je l'espère longtemps.
Toute mes amitiés à toi.

[james]

Klaus pensif et inquiet, tu as raison. Il n'avait pourtant pas à s"en faire, les 280 places de cette salle de concert étaient bien occupées. Ici, tout rentre avec un "chausse-pieds", les musiciens comme les auditeurs, mais le manque de place se fait oublier comme par magie.
Merci de ta visite et de tes feuilles dorées.
Je t'embrasse.

[Streets]

Merci James... On s'y (re)croirait...
Quels moments de rêve...

Je t'embrasse,

Bruno