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Le regard de James
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6 février 2008

Week-end à Londres, suite.

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Commentaires
J
Une petite touhe de nostalgie ? Tu trouves ?<br /> Peut-être tout simplement la cohabitation de différentes époques, cachées dans les tenues vestimentaires ou les architectures.<br /> <br /> Bonne nuit à toi.
O
Un parfum de nostalgie flotte dans toute la série. Un trio de voyageurs perché accompagne tes pas. Be careful, look left ! Le regard dans le vague face à la lumière… voyage dans le temps, le long tuyau de céramique blanche nous aspire en beauté. Les derniers Iroquois en pleine action, les reliques des bonnes vieilles cabines téléphonique, les icônes encore accrochées aux fenêtres, le Carnaby d’un temps passé. Quand vient le soir, la vie revient dans les pubs éclairés. Une longue nuit commence sous les yeux bienveillants du Spice of life.<br /> <br /> Toujours de belles lumières accompagnées d’une superbe palette noir et blanc.<br /> Bises vers Caen.
J
Le mélange et la tolérance est très certainement une caractéristique londonienne, qui donne au balade une richesse visuelle unique. C'est vrai que chez nous, c'est moins évident de trouver une telle mixité.
J
Bonjour Anne,<br /> incontournable photo d'une scène de pub, ou les rencontres sont étonnantes. Un petit monde confortable et chaud, ou les gens se rencontrent et parlent, mais aussi ou ils picolent pas mal :-)
B
"Superb !" comme on dirait à London. <br /> J'adore la première photo avec ce punk tout droit sorti d'une pochette des Sex Pistols ! (Mais que fait il avec ses bras ? il ne danse pas la techtonik quand meme ?).<br /> La photo du métro est géniale. J'ai pris ce métro très longtemps et je le déteste : sale, étroit, vieux... Mais là, grâce au Regard de James je découvre un autre "London Tube" : on dirait du Vasarely !<br /> Enfin, géniale photo du type aux cheveux longs dans le pub. <br /> Ce qui est drôle finalement à Londres ce sont les rencontres, les contrastes. Lorsque j'y vivais, je croisais régulièrement Vivienne Westwood (70 ans minimum) au supermarché du coin : cheveux oranges, collants fluos, jupes à "faux-culs" et platform shoes, en train d'acheter ses poireaux et ses carottes. Normal, quoi ! C'est cela qui nous manque à Paris...
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